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Don de sang de cordon

Dès les premières fois que je suis allée à l’Hôpital, j’ai vu les affiches du Don de sang de cordon. Dès les premiers rendez-vous, les infirmières et les sages-femmes m’en ont parlé. Intéressée, je me suis également renseignée sur Internet.

Finalement, lors de mon rendez-vous des 7 mois, on m’a reposé la question et j’ai décidé de me lancer. J’ai un peu honte, mais je n’ai jamais donné mon sang jusqu’à aujourd’hui. Pas parce que je ne veux pas, mais parce que jusqu’à peu j’avais absolument horreur des piqûres. Avec la grossesse, j’ai bien dû m’y habituer. J’en avais déja parlé ici. Le Don de sang de cordon n’est absolument pas douloureux, ni pour la maman, ni pour le bébé. Alors j’ai trouvé que c’était une belle manière de commencer les dons.

Ensuite, lorsque l’occasion se présentera, maintenant que j’ai pris l’habitude des piqûres, je n’hésiterai plus à donner mon sang…

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Atelier de démonstration de couches lavables

Vendredi matin, je me suis rendue chez Api Napi, une petite boutique parisienne qui vend essentiellement des couches lavables, afin de suivre un atelier de démonstration sur le sujet. Ca fait un bon bout de temps que je m’y intéresse. C’est tout au début de ma grossesse, lorsque je faisais quelques recherches sur internet et sur les blogs de mamans pour trouver des conseils et des idées que j’étais par hasard tombée sur le sujet. J’ai tout de suite trouvé le concept de couches lavables très intéressant, mais je ne comprenais pas exactement le fonctionnement et je n’étais pas sûre d’avoir le temps en parallèle du travail et de la fatigue pour ce genre de chose, bien que je sois convaincu pour le bien-être de bébé. Je me suis donc promis de m’y intéresser de plus près le moment venu.

Un peu par hasard, lorsque je suis allée rendre visite à ma meilleure amie enceinte elle aussi au courant de l’été, elle était justement en train d’accrocher une machine de couches lavables qu’elle venait d’acheter. Elle m’a montré et expliqué le principe. Et cette fois, je n’ai plus eu aucun doute. Ma puce aura des couches lavables. En rentrant, j’ai emmené mon homme chez Api Napi pour lui montrer le concept et tenter de le convaincre lui aussi, ce qui n’a pas été très compliqué.

C’est la première fois que je rentrais dans la boutique. C’est suite à un article de Nanette que j’ai choisi cette boutique en particulier. Je m’y suis tout de suite sentie à l’aise, même si je n’y connaissais vraiment pas grand chose. Les deux vendeuses ont été adorables. L’une d’entre elle, nous a bien expliqué le principe, les différents types de couches, l’organisation que ça demande, le budget, les différentes alternatives. Petit Mari a également été séduit. Elles m’ont conseillé d’y réfléchir et de repasser lorsque je serais en congé maternité afin de profité d’un atelier de démonstration.

Ce que j’ai donc fait vendredi matin. Nous n’étions que deux futures mamans ce qui a été très agréable. On nous a montré tous les types de couches existant, les différentes matières, leur utilisation, l’organisation à la maison… Nous avons pu poser nos questions. Et j’en suis ressortie totalement conquise…

Avec Petit Mari, nous avons décidé de commencer par la location d’un lot de couches lavables pour le premier mois afin de définir exactement les besoins de notre puce ainsi que les nôtres. Mais ensuite, il ne fait aucun doute que nous achèterons un lot…

7 mois et demi

Ca pousse, ça pousse… Et maintenant, ça commence même à peser 😉

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Test O’Sullivan

Le lendemain de mon rendez-vous prénatal, je n’ai donc eu d’autres choix que de retourner au laboratoire pour faire mon test O’Sullivan. Je suis allée acheter ma dose de glucose avant de me rendre au laboratoire.

Le test se compose en deux phases. On commence par faire une prise de sang à jeun, puis on doit boire les 50g de glucose et enfin patienter sagement durant une heure avant d’effectuer une seconde prise de sang. Le glucose n’était pas aussi écoeurant que ce que j’aurai pensé. C’était effectivement très très sucré, mais au niveau du goût ça passe tout de même. Par contre, le plus difficile, c’est de devoir avaler ce glucose pur dans l’estomac vide. J’ai eu des nausées toute la journée et j’ai eu l’impression que tout ce que j’ai avalé ce jour-là n’était que du sucre…

Je suis allée récupérer mes résultats vers 17h et demander à ce que ces résultats soient également faxés à l’hôpital. J’espérais que tout irais bien, mais à la lecture des résultats, le laborantin m’a dit que mon taux de sucre était légèrement trop élevé au bout d’une heure. Par contre, à jeun, mon taux était parfait. Il m’a dit que je devrais certainement effectuer un autre test, plus approfondit afin de vérifier ces résultats.

Voilà plus d’une semaine que les résultats ont été faxés à l’hôpital et personne ne m’a encore contacté. Pourtant, l’infirmière m’avait assuré que si un problème était perceptible dans les résultats on me contacterait aussitôt. J’ai donc décidé de faire un peu plus attention au sucre que je mange. Fini la brioche au petit déjeuner, je me contente de pain ou de pâtisseries réalisées maison et allégées en sucre. Mais il fut bien dire que de toute façon, je ne consomme pas tant de sucre que ça…

On verra lors de mon prochain rendez-vous à l’hôpital d’ici une semaine…

6ème rendez-vous prénatal

Déja, j’ai passé le dernier rendez-vous mensuel à l’hôpital avec la sage-femme. A partir de la prochaine fois, les rendez-vous se rapprochent, annonçant ainsi la fin de ma grossesse. Le rendez-vous a été particulièrement fatiguant, cette fois-ci, car il y avait énormément de monde et j’ai passé mon après midi à l’hôpital à patienter.

Le rendez-vous avec la sage-femme s’est bien passé. Tout est encore au mieux. J’ai à nouveau pu entendre le coeur de mon bébé. C’est toujours un moment un peu magique…

La puce grandit bien et est encore prête à rester bien au chaud. Mais vu mon état de fatigue et le fait que quelques jours auparavant j’avais ressentie mes premières contractions, la sage-femme a préféré me donner mon congé pathologique pour que je puisse me reposer. Le prochain rendez-vous est pris dans deux semaines!

La suite avec l’infirmière a été moins sympathique. J’ai pris trop de poids, mais ça me pendait déja au bout du nez il y a quelques mois, et je dois donc passer le test O’Sullivan afin de vérifier que je ne fais pas de diabète gestationnel. Au final, à la fin de mon septième mois de grossesse, j’ai pris 10kg. C’est pas si énorme et ça me parait même plutôt normal d’après les estimations trouvées sur internet… Résultats très vite…

Mais au moins maintenant, je n’aurai plus qu’à penser à moi et à ma petite puce, à préparer son arrivée et à me reposer au maximum!